Actions événementielles

Les Terres de Jade

Il s’agit de la fĂȘte rĂ©gionale annuelle de l’agriculture dans la rĂ©gion Bourgogne Franche-ComtĂ©. OrganisĂ©e Ă  tour de rĂŽle dans un dĂ©partement, cet Ă©vĂ©nement est l’occasion de se rĂ©unir pour cĂ©lĂ©brer, faire connaĂźtre et promouvoir l’ensemble de nos mĂ©tiers.

Les Halles de Jim

Les Halles de Jim est un marchĂ© du terroir JA, au cƓur mĂȘme de l’Ă©vĂ©nement Terres de Jim (fĂȘte nationale de l’agriculture annuelle), tenu par les JA des rĂ©gions volontaires. Chaque rĂ©gion tient un stand de dĂ©gustations-vente et animations autour des produits rĂ©gionaux de son choix.

Jeunes Agriculteurs de Bourgogne et de Franche-ComtĂ© participent tous les ans aux Halles de Jim avec un stand de vente de produits, et d’animations originales. Transparence et prix justes sont les critĂšres clĂ©s de la sĂ©lection des produits qui sont prĂ©sentĂ©s.


Actions filiĂšres, foncier, Ă©conomie et territoires

Le groupe Agriflex

Agriflex rassemble un groupe de jeunes agriculteurs aux profils variĂ©s : cĂ©rĂ©aliers, viticulteurs, Ă©leveurs (bovins, ovins, lait AOP
) et bien d’autres encore. Ensemble, ces professionnels Ɠuvrent pour optimiser les systĂšmes de production tout en conciliant performance Ă©conomique et respect de l’environnement.

Des intervenants spĂ©cialisĂ©s apportent des informations clĂ©s pour rĂ©pondre aux besoins spĂ©cifiques de chaque membre. La dĂ©marche vise Ă  affiner les pratiques pour amĂ©liorer l’impact environnemental des exploitations en rĂ©duisant l’usage des intrants avec le maintien d’une production efficace et durable.

Les journĂ©es Agriflex sont rythmĂ©es par des visites d’exploitations et d’autres organismes en fonction des besoins des membres. Chaque agriculteur partage son expĂ©rience, ses innovations et ses pratiques pour optimiser l’utilisation des phytopharmaceutiques et amĂ©liorer ses performances.

GrĂące Ă  Agriflex, chaque membre bĂ©nĂ©ficie de formations sur mesure, entiĂšrement prises en charge par VIVEA et les partenaires du projet. Des thĂ©matiques concrĂštes, des experts Ă  l’écoute et des solutions adaptĂ©es aux rĂ©alitĂ©s de terrain !

Au-delà des échanges techniques, Agriflex représente une aventure humaine, un espace de partage et de solidarité entre agriculteurs. Dans une ambiance conviviale et bienveillante, chaque participant avance vers des pratiques plus durables et résilientes.

Rejoignez cette belle dynamique oĂč innovation, entraide et bonne humeur guident chaque initiative en nous contactant Ă  : syndical.jabfc@gmail.com.

GIEE « Autonmie Alimen’Terre »

Le GIEE est dĂ©crit par ses membres comme « un groupe d’agriculteurs qui travaille pour l’amĂ©lioration de l’autonomie de nos exploitations pour accroĂźtre notre efficience technico-Ă©conomique tout en diminuant notre impact sur l’environnement ».

Il est ouvert Ă  tous en Haute-SaĂŽne et trouve largement sa place au sein des enjeux de rentabilitĂ© Ă©conomique et environnementale avec de nombreux objectifs : amĂ©lioration des pratiques des exploitations en polyculture-Ă©levage, augmentation des revenus, baisse des charges etc. par l’échange et l’apprentissage de nouvelles techniques.

Hier et aujourd’hui 

Depuis sa crĂ©ation en 2018, le GIEE fondĂ© par les Jeunes Agriculteurs de Haute-SaĂŽne dĂ©fend l’autonomie alimentaire des exploitations en polyculture-Ă©levage. Fort de leur volontĂ© et de leur capacitĂ© Ă  se rĂ©unir, les jeunes installĂ©s ont passĂ© le flambeau Ă  un groupe hĂ©tĂ©rogĂšne d’agriculteurs curieux de dĂ©couvrir et d’échanger sur de nouvelles pratiques. 


En 2021 et 2022, les formations proposĂ©es ont Ă©tĂ© respectivement de 2 jours sur le thĂ© de compost oxygĂ©nĂ© et l’enrobage biostimulant de semences par Jean-Charles Devilliers ainsi que la formation de FĂ©lix Noblia sur la gestion du troupeau et des cultures en agroĂ©cologie. 

Pour les prochaines années, nous prévoyons:

– des tours de plaine, 

– des bilans carbone, 

un travail de gestion de la fertilité des sols en réduisant les intrants,

– l’amĂ©lioration des systĂšmes de productions par l’analyse d’indicateurs, 

– des formations sur l’élevage et enfin, 

– communiquer et transmettre. 

Rejoignez-nous ! 

Pourquoi ce GIEE ? 

Dans un contexte oĂč les productions agricoles peinent Ă  rĂ©munĂ©rer les agriculteurs du dĂ©partement, les agriculteurs rĂ©cemment installĂ©s de la Haute-SaĂŽne sont Ă  la recherche de leviers susceptibles de permettre la rĂ©ussite et la pĂ©rennisation des exploitations. Lors de diffĂ©rentes rencontres organisĂ©es par l’association, l’autonomie des systĂšmes s’est trĂšs vite imposĂ©e comme Ă©tant l’axe prioritaire Ă  travailler pour pĂ©renniser les systĂšmes de production. L’objectif premier du groupe est donc d’augmenter l’autonomie des systĂšmes d’exploitation mise en place pour amĂ©liorer les performances Ă©conomiques, limiter l’impact des pratiques sur l’environnement et par lĂ  mĂȘme, rĂ©pondre aux attentes sociĂ©tales

– objectifs sur le plan Ă©conomique comme la limitation du recours aux achats d’intrants que ce soit pour les animaux comme pour les cultures


  – objectifs sur le plan environnemental comme l’allongement des rotations, la diversification des assolements, la valorisation d’engrais vert ainsi qu’une meilleure connaissance du fonctionnement des sols et un bilan de l’empreinte carbone et encore beaucoup d’autres leviers


– objectif(s) sur le plan social est d’intensifier les Ă©changes entre les membres mais aussi avec le monde agricole et le grand public

JA Climate

JAclimate, nĂ© en 2020 regroupe aujourd’hui plusieurs initiatives. 

Notre premier objectif Ă©tait de sensibiliser les JA au changement climatique par filiĂšre pour initier de nouveaux projets en rĂ©gion et en dĂ©partements. 

Des formations ont Ă©tĂ© donnĂ©es, des idĂ©es ont Ă©mergĂ©es et
 en rĂ©gion, le projet “Jeunes Agriculteurs et Climat” est nĂ© ! Aujourd’hui nos ambitions restent les mĂȘmes, nous souhaitons former et construire des projets pĂ©rennes au-delĂ  de notre syndicat pour aujourd’hui et pour demain.

Les bonnes pratiques environnementales Jeunes Agriculteurs

Les agriculteurs mettent depuis de nombreuses annĂ©es en Ɠuvre des pratiques agricoles vertueuses sur le territoire (agriculture biologique, agriculture de conservation des sols, prairies permanentes, mise en place d’alternatives au glyphosate, participation Ă  des formations, Ă  des groupes de dĂ©veloppements (Dephy, groupe des 30 000, GIEE) etc.).

Pour mettre en lumiĂšre quelques-unes de ces bonnes pratiques, 4 agriculteurs de Bourgogne Franche-ComtĂ© se sont prĂȘtĂ©s au jeu du portrait. Vous les retrouvez sur cette page, avec l’explication de leurs bonnes pratiques, aprĂšs les avoir vu sur les arriĂšres de bus de Dijon, Besançon, Auxerre, Nevers et MĂącon.

Les biocontrĂŽles sont un ensemble de mĂ©thodes pour la protection des vĂ©gĂ©taux reposant soit sur des organismes vivants soit sur l’utilisation de produits naturels dans un milieu naturel.  Ces processus permettent d’équilibrer les populations envahisseurs/agresseurs plutĂŽt que de les supprimer. Il y a quatre catĂ©gories d’approche en biocontrĂŽle :

– macro-organismes (insectes, nĂ©matodes, acariens) ;

– micro-organismes (virus, bactĂ©rie ou champignons) ;

– mĂ©diateurs chimiques (phĂ©romones) ;

– substances naturelles (origine animale, vĂ©gĂ©tale ou minĂ©rale).

L’implantation d’un couvert vĂ©gĂ©tal sur le sol, en mĂȘme temps que la culture principale, va permettre plusieurs choses :

  • Recouvrir le sol et donc limiter l’apparition de mauvaises herbes. Par exemple, le trĂšfle blanc, qui est une plante rampante, va recouvrir le sol et s’étaler sur la parcelle. Ce couvert vĂ©gĂ©tal ne monte pas, il reste Ă  la surface du sol. Il pourra ĂȘtre semĂ© en mĂȘme temps qu’une plante qui se dĂ©veloppe en hauteur et constitue ainsi un paillage vivant qui limite l’utilisation de dĂ©sherbant.
  • En plus de la culture dite principale, l’implantation de couverts enrichit naturellement le sol, permettant aux plantes de pousser avec force et d’ĂȘtre ainsi plus rĂ©sistante aux maladies.

Il existe plusieurs variĂ©tĂ©s de vĂ©gĂ©taux mais toutes ces variĂ©tĂ©s ne peuvent pas pousser aux mĂȘmes endroits. Chaque variĂ©tĂ© a ses caractĂ©ristiques propres (son besoin en eau, le type de sol, la rĂ©sistance au froid, et aux maladies). En choisissant une variĂ©tĂ© dont les caractĂ©ristiques sont adaptĂ©es aux terres agricoles et au climat de son territoire, on utilisera moins de produits phytosanitaires. L’environnement sera propice Ă  la plante. Elle pourra se dĂ©velopper naturellement, avec des interventions rĂ©duites de l’agriculteur.

Le fait d’alterner les cultures sur les parcelles favorise plusieurs choses :

  • La prĂ©servation du sol. En effet, le sol contient plusieurs Ă©lĂ©ments (comme des matiĂšres minĂ©rales, de l’azote, de l’eau). En changeant d’espĂšces on favorise le renouvellement des Ă©lĂ©ments ;
  • Une plus faible pression aux maladies. Les plantes ne sont pas toutes sensibles aux mĂȘmes maladies. En changeant de cultures sur une mĂȘme parcelle d’une annĂ©e Ă  l’autre, on limite les foyers de contamination. En termes plus technique, les ravageurs et pathogĂšnes rencontrent davantage de difficultĂ©s pour trouver leur espĂšce hĂŽte. On Ă©vite ainsi naturellement les maladies et de fait, on limite l’utilisation de produits phytosanitaires pour protĂ©ger des maladies.
  • moins de mauvaises herbes dans les champs : les plantes ne poussant pas toutes au mĂȘme moment dans l’annĂ©e, elles rompent le cycle de dĂ©veloppement des mauvaises herbes.

En « termes techniques Â», vous entendrez parler de BiorĂ©sistance, de rotation Ă  longue durĂ©e ou encore de rotation culturale. 

Implication dans le collectif et la formation

Ces collectifs ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s Ă  l’initiative d’agriculteurs dĂ©sireux d’échanger sur leurs pratiques Ă  l’échelle de leurs territoires agricoles pour progresser et  innover. Les groupes s’adaptent en permanence, ils Ă©voluent en rĂ©ponse aux attentes des agriculteurs mais aussi de la sociĂ©tĂ©. Ils sont en effet synonymes de progrĂšs et d’innovation mais aussi de repĂšres techniques et Ă©conomiques, de conseil indĂ©pendant pour favoriser la prise de dĂ©cision en toute autonomie.

DiffĂ©rentes groupes existent : GEDA (Groupe d’Etude et de DĂ©veloppement Agricole), le rĂ©seau DEPHY (a pour finalitĂ© d’éprouver, valoriser et dĂ©ployer les techniques et systĂšmes agricoles rĂ©duisant l’usage des produits phytosanitaires tout en promouvant des techniques Ă©conomiquement, environnementalement et socialement performantes), le groupe des 30 000 portĂ© par les Jeunes Agriculteurs BFC (groupe d’échange visant Ă  trouver des solutions innovantes pour limiter l’utilisation de produits phytopharmaceutiques et accompagner la transition vers des systĂšmes alternatifs)

GIEE (Groupement d’IntĂ©rĂȘt Economique et Environnemental). Les CUMA aussi permettent de faciliter l’utilisation de matĂ©riel agricole de prĂ©cision.

Le Certiphyto est un certificat qui affirme que la personne ait des connaissances suffisantes pour pouvoir utiliser les produits phytopharmaceutiques. Ce certificat est obligatoire pour les professionnels qui utilisent des produits phytopharmaceutiques, quelque que soit leur statut.

Au-delà de cette formation obligatoire, les agriculteurs suivent de leur plein gré de nombreuses formations visant à utiliser différemment les produits phytopharmaceutiques (limitation des doses, nouvelles techniques culturales
).

Entretien des paysages

Les pratiques agricoles mises en Ɠuvre par les Ă©leveurs ont un impact positif sur les paysages.

L’agriculture est Ă  la fois gestionnaire des espaces qui l’abritent mais aussi bĂ©nĂ©ficiaire de cette biodiversitĂ©. DerriĂšre ce terme, se cachent en effet l’abeille et tous les insectes pollinisateurs ; se terrent les micro-organismes du sol qui filtrent et Ă©purent l’eau, l’air et transforment de la matiĂšre organique en nutriments pour les plantes. Se trouvent encore les « auxiliaires de cultures Â» indispensables pour rĂ©guler la prĂ©sence des ravageurs : les carabes mangeurs de limaces, les larves de syrphes consommant des pucerons. Plus globalement, s’y intĂšgrent toutes les chaĂźnes alimentaires qui vont jusqu’aux rapaces, prĂ©dateurs des campagnols qui abĂźment les prairies.

Dans un Ă©levage, la biodiversitĂ© s’entretient Ă  trois niveaux : la parcelle ; l’exploitation dans son ensemble oĂč se jouent de nombreuses complĂ©mentaritĂ©s entre les cultures et les surfaces semi-naturelles comme la prairie permanente et la haie et enfin le territoire qui entoure l’exploitation. Si la structure complexe du paysage et une utilisation diversifiĂ©e des sols sont essentielles dans le maintien des habitats, le choix des pratiques agricoles jouent un rĂŽle clĂ©.

L’éleveur peut ainsi agir sur les niveaux de fertilisation, le chargement (nombre d’animaux Ă  l’hectare) au pĂąturage â€“ qui doit ĂȘtre ni trop faible, ni trop fort pour optimiser la diversitĂ© floristique – ou encore les pratiques de fauches comme celle dite centrifuge qui consiste Ă  rĂ©colter l’herbe Ă  partir du centre de la parcelle pour permettre aux animaux et oiseaux qui nichent dans la prairie d’aller se rĂ©fugier dans les bordures pendant l’opĂ©ration.

Energies renouvelables

La mĂ©thanisation est une technologie basĂ©e sur la dĂ©gradation des matiĂšres organiques, comme les dĂ©jections animales (lisier, fumier), les dĂ©chets agro-alimentaires (huiles, graisses
),  les dĂ©chets de collectivitĂ©s (tontes de pelouses, feuilles, 
).  La dĂ©gradation de ces matiĂšres organiques crĂ©e du biogaz, qui peut ĂȘtre utilisĂ© pour la production d’électricitĂ© et de chaleur, de carburant, ou pour ĂȘtre injectĂ© dans le rĂ©seau de gaz naturel aprĂšs Ă©puration.

Nouvelles technologies

Les Outils d’Aides Ă  la DĂ©cision sont des outils permettant de mieux raisonner l’application des produits phytopharmaceutique. Ils permettent de guider l’utilisateur vers la dĂ©cision d’intervenir ou non sur une parcelle en fonction de plusieurs critĂšres comme par exemple les conditions mĂ©tĂ©orologiques.

En combinant les facteurs mĂ©tĂ©orologiques les plus favorables possibles, le produit est plus efficace et les doses sont ainsi limitĂ©es. Les outils d’aide Ă  la dĂ©cision, comme les stations mĂ©tĂ©orologiques, permettent Ă  l’agriculture de trouvĂ© le moment le plus propice de traitement.

Pour optimiser les passages de tracteur dans la parcelle et limiter les recouvrements entre chaque aller – retour, il est possible d’utiliser un auto-guidage assistĂ© par GPS. Au-delĂ  de ces aspects, l’autoguidage permet de se concentrer sur l’outil et non plus sur la conduite, et offre la possibilitĂ© de travailler en conditions limitantes (de nuit, en prĂ©sence de poussiĂšre), sans que la qualitĂ© du travail ne soit affectĂ©e.

D’autres outils que le GPS peuvent ĂȘtre utilisĂ©s : par exemple, le drone va permettre de voir si la plante est malade afin de bien cibler les endroits prĂ©cis du champ qui ont en besoin. Ainsi, les agriculteurs diminuent leurs consommations de produits phytopharmaceutiques.


Les actions internes au réseau JA

L’UniversitĂ© d’Hiver RĂ©gionale

C’est un Ă©vĂ©nement majeur du rĂ©seau des JA BFC qui fĂ©dĂšre l’ensemble de tous les responsables JA de BFC : des Ă©lus nationaux aux responsables de canton.

L’UniversitĂ© d’Hiver RĂ©gionale aura lieu tous les deux ans, au cƓur du mandat, soit un an aprĂšs les Ă©lections. Elle se dĂ©roulera en janvier, sur un dĂ©partement diffĂ©rent de BFC tous les ans.

Sur deux jours en semaine, ces journĂ©es sont l’occasion unique :

  • de se connaĂźtre (faire du rĂ©seau) entre JA impliquĂ©s de tout BFC
  • d’impliquer les cantons dans le rĂ©seau : dĂ©partement ou rĂ©gion ou national
  • d’amĂ©liorer la communication interne entre Ă©chelons
  • de travailler en rĂ©seau
  • de crĂ©er des liens autour d’une soirĂ©e conviviale.
  • d’approfondir une thĂ©matique au choix

Cant’on s’implique

OrganisĂ©e tous les deux ans en intermittence avec l’UniversitĂ© d’Hiver RĂ©gionale, elle regroupe tous les prĂ©sidents de canton de la rĂ©gion Bourgogne Franche-ComtĂ©. Elle a pour objectif de valoriser le travail des prĂ©sidents, de dĂ©battre sur le thĂšme du rĂ©seau et de donner des informations sur les rĂŽles et missions des prĂ©sidents de canton. Un rendez-vous incontournable dĂ©but fĂ©vrier des annĂ©es Ă©lectives pour les prĂ©sidents de canton nouvellement Ă©lus !

Avenir Formation

Avenir Formation est une formation incontournable dans le monde des responsables agricoles. Il s’agit d’une Ă©cole de responsable, forte de plus de trente ans d’existence

Se dĂ©roulant sur cinq modules de trois jours de novembre Ă  mars, elle permet de maĂźtriser les enjeux globaux du monde d’agricole d’aujourd’hui.

Avenir Formation est destinĂ©e aux jeunes agriculteurs de Bourgogne Franche-ComtĂ© qui souhaitent devenir acteurs de leur avenir. Elle permettra de rĂ©pondre aux questions nouvelles qui se posent dans un paysage agricole en pleine Ă©volution : comment agir dans un contexte social et Ă©conomique en mutation? Comment prendre en compte les nouveaux critĂšres concernant le monde rural ? Quels amĂ©nagements du territoire en perspective? Quelle place et quelles missions pour l’agriculture aujourd’hui? Comment cela influence mon mĂ©tier d’agriculteur? Quelles sont les marges de manƓuvre, les perspectives?